Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Archives du blog
-
▼
2009
(25)
-
▼
mars
(17)
- J'attends chaque soir à ce qu'il vienne, ce mégalo...
- Tout près d'un lit nous trouvâmes des carnets, des...
- Certains sujets pendaient sur nous comme des fruit...
- Un conte fondateur contient déjà un présage du bon...
- exterieur
- interieur
- On a un dragon apprivoisé dans notre bureau. Il gr...
- Les deux chats se promenaient comme des princes, a...
- Je cherche en vain a vivre de nouveau cet état de ...
- Le ciel était clair comme une feuille de papier. N...
- „C'était au reste un de ces hommes qui aiment assi...
- La ville-fétiche ne m'intéressait guère. Je passai...
- La beauté la plus intense confine toujours au kitsch.
- On dit qu'un homme est fichu quand il n'a plus rie...
- Depuis le moment où je les ai décrits, mes souveni...
- Plus un souvenir est fade plus il m'est facile d'e...
- Il raconte des histoires à tiroir qui se multiplie...
-
▼
mars
(17)
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerje pourrais raconter comment une Polonaise (de Chopin) m'a fait cligner de l'oeil à cause d'une Hongroise détestable, qui s'appelait Kiss.
RépondreSupprimerraconte! :)
RépondreSupprimerAllora.
RépondreSupprimerDepuis trois semaines, un furieux tremblement de ma paupière gauche s'était emparé de moi. Rien à faire, ni traitement vitaminé, ni cure de sommeil, ni légumes ni fruits, ne parvenait à m'en débarrasser. C'est en tournant la page de la partition que je jouais au piano que me revint en mémoire le visage de Mme Kiss.
Cette partition était celle d'une polonaise de Chopin (op. 26 n°1), que j'avais jadis joué au conservatoire (il y a dix ans déjà). Partition avec laquelle je me suis présenté à ma nouvelle professeur, la hongroise Kiss. Elle me fit assez brutalement arrêté l'étude de cette oeuvre pour m'en choisir une autre (un Bach il me semble).
Ce que j'avais oublié, c'était l'oeil gauche de cette sévère pianiste, souffrant de strabisme.
Ma paupière gauche ne tremble plus depuis que j'arrive à jouer correctement cette pièce.
Arthur, je suis eprise de cette histoire! :)
RépondreSupprimerAdorable, l'histoire.
RépondreSupprimer